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DEUXIEME REPUBLIQUE (1972 – 1993) :

 

 

 

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Suite du portrait du Président : Didier Ratsiraka (1975 à 1993) :

 





 

 




 

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Il en profite pour nouer des relations dans les hautes sphères de la politique française.





 

 

Entre-temps, il épouse Céline Velonjara dont le père est l'un des ténors du PADESM, un parti de gauche opposé au PSD du président en exercice, Philibert Tsiranana.

 





 

En 1972, ce dernier est renversé du pouvoir et un Directoire militaire prend les commandes du pays.

 




 

 

Le général RAMANANTSOA à la tête du gouvernement ; nomme Didier Ratsiraka, alors capitaine de corvette, ministre des affaires étrangères et l'envoie souvent en voyage à Paris.

 

 



 

Le ministre gaulliste Billecoq et l'amiral Lafaye se souviennent d'un jeune ministre insolent aux manies étranges qui voue une haine déclarée aux colonialistes et entretient des projets de changements radicaux pour son pays.





 

 

En 1975, le colonel Ratsimandrava accède au pouvoir mais est assassiné quelques jours seulement après son investiture.





 

 

Didier Ratsiraka est alors promu président de la République et fait connaître au destin de Madagascar un tournant inattendu.

 




 

 

Le pays quitte la zone franc et la chasse aux investisseurs français devient impitoyable.

 





 

Les conséquences de cette politique sur l'économie malgache sont désastreuses et les effets s'en ressentent encore aujourd'hui.

 






 

En 1976, Ratsiraka adhère à la doctrine socialiste chinoise et fonde l'AREMA ; le parti révolutionnaire malgache, qui deviendra plus tard l'Avant-garde pour la Rénovation de Madagascar.

 
 




 

La nationalisation des grandes sociétés et la malgachisation de l'enseignement sont entreprises ; plongeant une génération entière dans la misère et l'ignorance.

 

 

 




 

 

 

DEUXIEME REPUBLIQUE (1972 à 1993) :

 

 


 



 



 

Le gouvernement de Ramanantsoa se caractérise par sa politique de "Malgachisation".








 
Mais les performances économiques ne suivent pas.








 
Le Général Gabriel RAMANANTSOA démissionne en février 1973 et donne le pouvoir au Colonel  Richard RATSIMANDRAVA qui sera assassiné seulement une semaine après.








 
Un Directoire militaire gère le pays jusqu’en 1975.








 
En décembre 1975, Didier RATSIRAKA devient Président et installe un régime révolutionnaire après avoir soumis au référendum la charte de la révolution socialiste.






 









 
Sur le plan international, il prône une politique tout azimut.








 
Ratsiraka a été élu président pour une durée de sept ans lors d’un référendum national le 21 décembre 1975, confirmant le mandat pour le consensus et inaugurant la deuxième République de Madagascar.









 
Le principe de base de l'administration de Ratsiraka était le besoin de "révolution socialiste par le haut."









 
En particulier, il a cherché à changer radicalement la société malgache selon des programmes et des principes incorporés dans la Charte de la Révolution Socialiste Malgache, populairement désignée sous le nom de " Livre Rouge" (Boky Mena).









 
Selon ce document, le but primaire de la République démocratique nouvellement renommée de Madagascar était d'établir une "nouvelle société" fondée selon des principes socialistes et guidée par les actions des "cinq piliers de la révolution" : le SRC, les paysans et les ouvriers, les jeunes intellectuels, les femmes, et les forces armées populaires.









 
"La révolution socialiste," explique le Livre Rouge, "est le seul choix qui s’offre à nous afin de réaliser un développement économique et culturel rapide d'une façon autonome, humanitaire, et harmonieuse."









 
Le Livre Rouge préconisait une nouvelle politique étrangère basée sur le principe du non-alignement, et des politiques intérieures concentrées sur la rénovation des fokonolona, la décentralisation de l'administration, et la stimulation du développement économique par une planification rigoureuse et la contribution populaire.









 
 
En 1987, il entreprit d’assouplir le socialisme étatique en procédant à une timide libéralisation de l’économie.







 
 
La grogne sociale ayant déjà gagné du terrain, des manifestations organisées un peu partout dans le pays, courant 1991, demandent la démission de l’Amiral Didier RATSIRAKA et le changement de la Constitution.







 
 
Devant les pressions, il  accepte la création d’un Gouvernement d’Union nationale de transition.






 
 
Une Nouvelle Constitution est adoptée.













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